Pour les entrepreneurs français qui ont quitté la France
Bonjour je suis entrepreneur en France et j ai la possibilité aujourd'hui de vendre ma société à un confrère. J attend la réponse de la banque suite à une demande que j ai fait pour l entreprise en cas de refus de leur part, je vend ma société. Je souhaiterais m installé à l étranger avec le même projet professionnel ou un totalement différent. Mes destinations seraient l Afrique du Sud, USA, brésil, Canada, Madagascar, l Angola. Je suis ouvert à d autres pays mais ne me proposez pas de pays comme la France ou les entrepreneurs sont taxés à hauteur de 50 % sur. leurs revenus avec RSI plus 10% en impôt sur le. revenu total 60%. Pas de pays non plus avec un. mtôt élevé sur les bénéfices. J ai moins de 30. ans. et je constate avec amertume aujourd'hui.
que en France à notre époque ils vaut mieux être salarié ou ouvrier que chef d entreprise car c est dernier viveront mieux que leur patron. Le hic c est que je n ai aucun diplôme, j étais en échec scolaire et je ne parle pas couramment l anglais c est niveau collège. Pour les diplômes c est pas ce qui me souci le plus c est surtout la langue. Surtout que aux usa il faut la green card me semble t il. Je voudrais avoir des avis d °µÍø½ûÇørié français parti tenter la chance ailleurs. urs. places
Je te signale juste que le taux de prélèvement sur le PIB au Brésil est plus élevé qu'en France, que l'emploi du portugais est absolument indispensable (très peu de bilinguisme), qu'il faut se payer en plus sa sécurité physique, sanitaire et que la "burocracia" est très prégnante, dix fois plus (si! si!) qu'en France.
Le Brésil est un pays merveilleux... quand on n'y travaille pas comme responsable de société
Pour le reste, bonne chance dans tes projets
Bonjour,
je vous suggère alors d interroger les différents forums de ces destinations sur le site, quand a la viabilité de votre projet, les personnes sur place vous donneront leurs avis…
Pour appuyer les arguments de Benj sur le Bresil, sachez qu un gérant, doit engager aussi ses biens personnels selon les situations. la ça rafraichit de suite….mais une réussite n est pas impossible bien au contraire…c est juste très difficile.
et comme on le répette fréquemment, attention de ne pas partir pour les mauvaises raisons….il faut faire une étude de faisabilité du projet a destination sous tous les angles possibles imaginables.
Bon courage, vous trouverez surement un endroit ou prospérer.
Bonne journée.
Bonjour allspice
Il ne faut pas croire que en France les biens personnels n'engage pas non plus l'entrepreneur. J'ai eu le cas d'une cliente qui sait vu saisir la totalité de ses biens y compris ça résidence principal. Au tatal c'est 2 millions d'euro en biens qui ont été saisies. La france n'est pas n'est pas non plus un eldorado en cas de faillite.
Malheuresement dans ce pays aujourd'hui, il vaut mieux soit être salarié soit un cas social. Le salarié sera jamais taxé à hauteur de 50% sur ses revenus et le cas social pourra prétendre à toutes les aides
Je ne cherche pas à partir pour prospérer à l'étranger mais à partir dans un pays étranger qui ne cherche pas à surtaxer les entreprises
ennedi a écrit:Bonjour allspice
Il ne faut pas croire que en France les biens personnels n'engage pas non plus l'entrepreneur. J'ai eu le cas d'une cliente qui sait vu saisir la totalité de ses biens y compris ça résidence principal. Au tatal c'est 2 millions d'euro en biens qui ont été saisies. La france n'est pas n'est pas non plus un eldorado en cas de faillite.
Malheuresement dans ce pays aujourd'hui, il vaut mieux soit être salarié soit un cas social. Le salarié sera jamais taxé à hauteur de 50% sur ses revenus et le cas social pourra prétendre à toutes les aides
Je ne cherche pas à partir pour prospérer à l'étranger mais à partir dans un pays étranger qui ne cherche pas à surtaxer les entreprises
Revenons-en au Brésil... les taxes sont tout aussi lourdes et en plus les entreprises ont des charges spécifiques (sur prix de la sécurité, par exemple: la plupart doivent se payer des vigiles)
L'insécurité juridique en plus de l'insécurité tout court) fait que sans bien connaître les arcanes locales, on risque surtout de se faire plumer. Au moins en France quand on achète quelque chose,, à de très rares exceptions près, c'est le propriétaire qui vous vend ce que vous convoitez
Pour le reste, bonne chance
J'ai envie de dire que si vous avez du talent vous réussirez peux importe l'endroit.
Vous ciblez un besoin, vous y apportez une solution qui offre un avantage au brésiliens ( si c'est votre destination) vous serez déjà sur de ne pas faire fausse route.
Ensuite le marketing y joue un grand rôle..je vous conseil d'apprendre d'abord ce qui séduit les gens locaux du lieux ou vous souhaitez vous installer..
Puis si vous payez des impôts c'est que vous gagnez de l'argent
Jonathan
Bonjour,
NON, ce n est pas suffisantÂ…
de plus il y a une grande NUANCE dans l intitule de cette discussion, les entrepreneurs "qui ont quitte la France", alors que ce devrait être qui "souhaitent " quitter la France. Oui les questions portent sur une possibilité, pas un fait établi.
La majorite des pays dans le monde pratique le local avant tout!
Et meme si vous souhaitez investir vous ne serez pas majoritaire.
Le talent joue beaucoup, mais les propositions locales de salaire ne sont parfois vraiment pas attrayantesÂ…
Alors en dehors d avoir de l argent et un bon profil, il faut tout de meme vérifier si le projet est viable dans la destination, et ce en vérifiant tous les critères possibles imaginables.
Moi je dis ça…….
Bonne journée…
joyeuse st Valentin a tous
Tiyoko a écrit:J'ai envie de dire que si vous avez du talent vous réussirez peux importe l'endroit.
Vous ciblez un besoin, vous y apportez une solution qui offre un avantage au brésiliens ( si c'est votre destination) vous serez déjà sur de ne pas faire fausse route.
Ensuite le marketing y joue un grand rôle..je vous conseil d'apprendre d'abord ce qui séduit les gens locaux du lieux ou vous souhaitez vous installer..
Puis si vous payez des impôts c'est que vous gagnez de l'argent
Jonathan
.
Alors là , c'est le concentré des idées fausses, susceptibles d'induire des gens en erreur!
Déjà on va évacuer la dernière. Dans 99% des cas, dans tous les pays, une société doit provisionner pour payer des impôts quand bien même son chiffre d'affaire serait nul et ses pertes abyssales (ne serait-ce que les impôts locaux, le foncier ou équivalent, etc.) Et on doit payer les salaires des employés quand bien même l'activité est ponctuellement insuffisante.
Toute personne qui a géré une entreprise, petite, moyenne ou grande, où que ce soit dans le monde (et au Brésil sans doute plus que dans la moitié des pays: je parle là de ce que je connais) sait qu'il doit trouver une somme lambda entrée dans sa caisse (à la journée, à la semaine, au mois, etc.) suffisante non pas pour gagner un centime ou un centavo, mais pour payer les frais de base (impositions diverses, loyer, énergie, salaires, etc.).
J'ai géré (entre autres) une toute petite épicerie (31.000 euros annuels de chiffre d'affaire: pas de bénéfice, de CA) et je savais que je pouvais commencer à envisager de payer le premier euro de la journée de salaire de mon employée seulement après que 50 euros environ soient entrés dans la caisse chaque jour, puis à envisager sans certitude aucune de gagner quelque chose après que 120 euros y soient passés. Certains jours il passait 300 euros, mais des journées à 30 ou 50 euros étaient majoritaires.
Les impôts sur les bénéfices, sur ce qu'on gagne effectivement, sont une fraction de tout ce qu'on verse en taxes et impositions, pas la plus importante, loin de là (cela dit, ça sert à entretenir la route qu'empruntent les camions qui me livraient, à payer les gendarmes qui limitaient mon risque de braquage, les clients dépendaient chez moi leurs allocs diverses etc. L'impôt dans son principe est nécessaire même si on peut discuter du montant sauf, puisqu'on parle du Brésil, qu'il est aussi élevé qu'en France voire davantage et qu'on doit payer en plus pour sa sécurité, sa santé, la corruption, les véhicules à changer plus souvent vu l'état des routes etc.)
"Vous ciblez un besoin, vous y apportez une solution qui offre un avantage /... vous serez déjà sur de ne pas faire fausse route".
Encore faut-il être sûr de cibler le besoin (premier lézard). Tout le monde, par exemple, veut en ce moment ouvrir une pousada au Brésil alors que ce pays est manifestement suréquipé en ce domaine. Certes l'hôtellerie est pleine en juillet, en fin d'année, au carnaval mais en dehors de ces périodes, ça tourne au ralenti. Il faut être costaud, avoir une excellente réputation, dans ces conditions pour attirer assez de clients au fil de l'année car même en faisant des prix élevés à ces moments, on ne survit pas sur six ou sept semaines de boulot.
Autre "idée géniale": faire des maisons simples pour reloger les populations qui aspirent légitimement à sortir des favelas sauf que... des programmes publics qui accordent des subventions massives et des prêts bonifiés aux accédants à la propriété rendent illusoires la rentabilité d'un tel programme privé.
Et bien malin qui sait à coup sûr qu'il apporte une solution viable à un problème lointain! Les Brésiliens ne sont pas plus cons que les autres, et imagine-t-on qu'un d'eux qui arrive avec quelques capitaux et sa bonne volonté, en plus de se dépêtrer avec les formalités d'immigration (compliquées dans les deux sens) trouvera mieux que nous une solution à nos problèmes? C'est possible évidemment, mais loin d'être certain!
Ensuite le marketing y joue un grand rôle..je vous conseille d'apprendre d'abord ce qui séduit les gens locaux du lieux ou vous souhaitez vous installer..
Je ne voudrais pas être caustique, mais ça c'est l'enfonçage de portes ouvertes. Oui effectivement il faut connaître son boulot pour bien le faire.
Notre investisseur devra avancer un capital, savoir vendre son idée (à supposer qu'elle soit vendable) et tenir jusqu'au moment où le capital commencera à produire, parce qu'il est très douteux qu'une banque brésilienne suivra un gringo qui démarre. Aucune facilité de caisse, le cash doit rentrer très vite, pour combler les frais qui courent dès le début de l'installation.
Bref, pardon de dire que certes il est possible d'entreprendre partout dans le monde, mais sur des bases un peu moins bisounours, un peu plus réalistes.
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Je parle d'impôts sur bénéfice.
Pouvez m'expliquer comment vous faite pour payer des impôts sur bénéfices si vous n'en avez pas?
Donc ma phrase " si vous payez des impot, c'est que vous gagnez de l'argent" Ã du sens.
Je remarque un excès d'assurance dans vos propos. Oubliez pas que vous avez le droit de penser et votre avis n'est rien d'autre qu'un avis qui en vaut un autre !
Je vous rappel qu'on est pas née dans ce forum et on va pas y mourir non plus, on a chaqu'un une histoire !!! Donc la façon de mépriser le message que je viens de publier est un peu dénué de tout fondement. En tout cas il ne respecte pas la mission pour laquelle ce forum à été crée.
Vous devriez le savoir non ? Vous qui préférez avoir raison que dire la vérité !! Une entreprise périclité dans 80% des cas parce que la mission pour laquelle elle a été créé, n'est plus d'actualité aujourd'hui.
Jonathan.
Je parle d'impôts sur bénéfice.
Pouvez m'expliquer comment vous faite pour payer des impôts sur bénéfices si vous n'en avez pas?
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Désolé, mais vous avez ajouté après cette précision: "sur les bénéfices". Votre phrase était bel et bien "si vous payez des impôts c'est que vous gagnez de l'argent" et je maintiens qu'on peut fort bien payer des impôts sans en gagner, et je ne parle pas des cotisations sociales et taxes qui s'ajoutent à cela, sans compter les frais fixes! En outre les impôts sur les bénéfices sont les moins difficiles à contourner en partie (en augmentant son salaire, en investissant une partie de ceux ci etc.) quand les impôts, taxes, cotisations payables qu'on soit en situation de bénéfice, de stagnation ou de déficit sont eux, hélas, quasi incontournables.
Pour le reste, je pense justement que l'excès d'assurance est de votre côté car dans mon message j'appelle non pas au renoncement mais à la circonspection, à la prudence, ne disant pas qu'avec une bonne idée ça marchera forcément.
Et je m'appuie sur une expérience de travail dans différents secteurs, et en °µÍø½ûÇørié. Des réussites et des bouillons, et pas toujours au moment où on (moi ou les autres) s'y attendait.
C'est justement parce que l'expérience me fait manquer d'assurance (rien n'est jamais acquis si le pire n'arrive heureusement pas toujours et si des réussites éclatantes incitent aussi à positiver) que j'appelle à la prudence
.
allspice a écrit:Bonjour,
NON, ce n est pas suffisantÂ…
de plus il y a une grande NUANCE dans l intitule de cette discussion, les entrepreneurs "qui ont quitte la France", alors que ce devrait être qui "souhaitent " quitter la France. Oui les questions portent sur une possibilité, pas un fait établi.
La majorite des pays dans le monde pratique le local avant tout!
Et meme si vous souhaitez investir vous ne serez pas majoritaire.
Le talent joue beaucoup, mais les propositions locales de salaire ne sont parfois vraiment pas attrayantesÂ…
Alors en dehors d avoir de l argent et un bon profil, il faut tout de meme vérifier si le projet est viable dans la destination, et ce en vérifiant tous les critères possibles imaginables.
Moi je dis ça…….
Bonne journée…
joyeuse st Valentin a tous
Non non , j'insiste bien sur le faite que l'intitulé du titre est bien choisit et ne devrait pas s'appelé les français qui souhaitent quitter la France.
La raison est toute simple, je m'adresse à des franaçis entreprenneurs qui sont déjà partis et qui ont monté un projet à l'étranger. Ils ont acquis une expérience à l'étranger, peuvent renseigner d'autres entrepreneurs français qui souhaitent partir. Les démarches fiscales et administratives, les conditions pour créer ou reprendre une société, les risques ça impliquent ect.
Si j'aurais mis l'intitulé du titre comme tu le dis "les français qui souhaitent quitter la France". Je n'aurais pas d'intervenant avec leurs expériences d'°µÍø½ûÇørié puisque ça serait adressé à ceux qui souhaitent partir et non ceux qui partis. (question de logique) De plus l'intitulé du message ça serait trop vaste et pas assez précis. Sauf cas rarissime ce n'est pas un particulié qui va pouvoir me renseigner les avantages de la fiscalité pour les entreprises dans tel et tel pays. Il pourra pas non plus me parler de son expérience en tant que chef d'entreprises en Colombie par exemple. C'est bien pour ça que c'est préciser pour les entrepreneurs car les attentes, les interrogations les problèmes qui peuvent subvenir non sont pas les mêmes entre particulier et un professionnel français.
Site t'es source pour dire que celui qui souhaitent investir dans un pays ne sera pas majoritaire? C'est faut de dire que plus de la moitié des pays dans le monde le fond. En europe par exemple aucun pays européen ne fait cette pratique si les U.S.A. C'est vrai pour la chine, l'Afrique du sud dans certain secteur d'activité et je dis bien certain secteur. Par contre en Arabie Saoudite tous secteurs d'activités confondus tu es obligé de t'associer avec une personne originaire du pays.
Un entrepreneur français ne vérifie pas toutes les possibilités pour créer ça boite voir si c'est viable ou non.C'est surtout vrai pour la génération de nos parents. Sinon faut rester salarié ou fonctionnaire.
benj77 a écrit:Tiyoko a écrit:J'ai envie de dire que si vous avez du talent vous réussirez peux importe l'endroit.
Vous ciblez un besoin, vous y apportez une solution qui offre un avantage au brésiliens ( si c'est votre destination) vous serez déjà sur de ne pas faire fausse route.
Ensuite le marketing y joue un grand rôle..je vous conseil d'apprendre d'abord ce qui séduit les gens locaux du lieux ou vous souhaitez vous installer..
Puis si vous payez des impôts c'est que vous gagnez de l'argent
Jonathan
.Alors là , c'est le concentré des idées fausses, susceptibles d'induire des gens en erreur!
Déjà on va évacuer la dernière. Dans 99% des cas, dans tous les pays, une société doit provisionner pour payer des impôts quand bien même son chiffre d'affaire serait nul et ses pertes abyssales (ne serait-ce que les impôts locaux, le foncier ou équivalent, etc.) Et on doit payer les salaires des employés quand bien même l'activité est ponctuellement insuffisante.
Toute personne qui a géré une entreprise, petite, moyenne ou grande, où que ce soit dans le monde (et au Brésil sans doute plus que dans la moitié des pays: je parle là de ce que je connais) sait qu'il doit trouver une somme lambda entrée dans sa caisse (à la journée, à la semaine, au mois, etc.) suffisante non pas pour gagner un centime ou un centavo, mais pour payer les frais de base (impositions diverses, loyer, énergie, salaires, etc.).
J'ai géré (entre autres) une toute petite épicerie (31.000 euros annuels de chiffre d'affaire: pas de bénéfice, de CA) et je savais que je pouvais commencer à envisager de payer le premier euro de la journée de salaire de mon employée seulement après que 50 euros environ soient entrés dans la caisse chaque jour, puis à envisager sans certitude aucune de gagner quelque chose après que 120 euros y soient passés. Certains jours il passait 300 euros, mais des journées à 30 ou 50 euros étaient majoritaires.
Les impôts sur les bénéfices, sur ce qu'on gagne effectivement, sont une fraction de tout ce qu'on verse en taxes et impositions, pas la plus importante, loin de là (cela dit, ça sert à entretenir la route qu'empruntent les camions qui me livraient, à payer les gendarmes qui limitaient mon risque de braquage, les clients dépendaient chez moi leurs allocs diverses etc. L'impôt dans son principe est nécessaire même si on peut discuter du montant sauf, puisqu'on parle du Brésil, qu'il est aussi élevé qu'en France voire davantage et qu'on doit payer en plus pour sa sécurité, sa santé, la corruption, les véhicules à changer plus souvent vu l'état des routes etc.)
"Vous ciblez un besoin, vous y apportez une solution qui offre un avantage /... vous serez déjà sur de ne pas faire fausse route".
Encore faut-il être sûr de cibler le besoin (premier lézard). Tout le monde, par exemple, veut en ce moment ouvrir une pousada au Brésil alors que ce pays est manifestement suréquipé en ce domaine. Certes l'hôtellerie est pleine en juillet, en fin d'année, au carnaval mais en dehors de ces périodes, ça tourne au ralenti. Il faut être costaud, avoir une excellente réputation, dans ces conditions pour attirer assez de clients au fil de l'année car même en faisant des prix élevés à ces moments, on ne survit pas sur six ou sept semaines de boulot.
Autre "idée géniale": faire des maisons simples pour reloger les populations qui aspirent légitimement à sortir des favelas sauf que... des programmes publics qui accordent des subventions massives et des prêts bonifiés aux accédants à la propriété rendent illusoires la rentabilité d'un tel programme privé.
Et bien malin qui sait à coup sûr qu'il apporte une solution viable à un problème lointain! Les Brésiliens ne sont pas plus cons que les autres, et imagine-t-on qu'un d'eux qui arrive avec quelques capitaux et sa bonne volonté, en plus de se dépêtrer avec les formalités d'immigration (compliquées dans les deux sens) trouvera mieux que nous une solution à nos problèmes? C'est possible évidemment, mais loin d'être certain!
Ensuite le marketing y joue un grand rôle..je vous conseille d'apprendre d'abord ce qui séduit les gens locaux du lieux ou vous souhaitez vous installer..
Je ne voudrais pas être caustique, mais ça c'est l'enfonçage de portes ouvertes. Oui effectivement il faut connaître son boulot pour bien le faire.
Notre investisseur devra avancer un capital, savoir vendre son idée (à supposer qu'elle soit vendable) et tenir jusqu'au moment où le capital commencera à produire, parce qu'il est très douteux qu'une banque brésilienne suivra un gringo qui démarre. Aucune facilité de caisse, le cash doit rentrer très vite, pour combler les frais qui courent dès le début de l'installation.
Bref, pardon de dire que certes il est possible d'entreprendre partout dans le monde, mais sur des bases un peu moins bisounours, un peu plus réalistes.
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C'est vague de dire que les taxes et l'imposition au brésil est plus élevé quand France, sans fournir de chiffre précis.Par exemple en france il y a différents statuts auto-entreprenneur, société en individuel, sarl, eurl, sa, suivant le montant du chiffre d'affaire si il y a des biens ou non si tu es gérant majoritaire ou minoritaire ect de choisir le statut qui te convient suivant aussi si c'est une création ou reprise d'entreprise0 Car il y a des avantages fiscaux.
C'est vague de dire que les taxes et l'imposition au brésil est plus élevé quand France, sans fournir de chiffre précis.Par exemple en france il y a différents statuts auto-entreprenneur, société en individuel, sarl, eurl, sa, suivant le montant du chiffre d'affaire si il y a des biens ou non si tu es gérant majoritaire ou minoritaire ect de choisir le statut qui te convient suivant aussi si c'est une création ou reprise d'entreprise0 Car il y a des avantages fiscaux.
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J'ai entrepris au Brésil et je maintiens: globalement, les impôts, cotisations et taxes sont plus lourds (et au Brésil aussi il y a de multiples statuts). Bien entendu on trouvera sans doute, en cherchant bien, un statut particulier dans un secteur spécifique où ce n'est pas le cas; mais comme on dit, il y a des poissons volants, mais ce n'est pas la loi du genre.
Maintenant si tu veux un comparatif statut par statut, je peux te le faire mais contre honoraires, vu le temps que ça prendra et la complexité inouîe de la législation brésilienne. Tu peux aussi te rapprocher de la chambre de commerce franco-brésilienne.
Ce qui est sûr aussi, c'est qu'au Brésil tu dois ajouter le prix de la corruption,
de la sécurité (des tas de commerces, ateliers, etc. doivent impérativement avoir des vigiles quand en France on ne se poserait pas la question... et je ne parle pas de gardes du corps dès qu'il se sait que tu manipules des fonds en quantité relativement élevée. On n'est pas au Mexique, mais le racket et les enlèvements, ça y existe pas mal),
de la bureaucratie tentaculaire (ils me font marrer, ceux qui veulent fuir la française en allant là -bas: quand tu mets une ou deux heures à résoudre un problème en France, il te faut une journée à une employée administrative pour - peut-être - y arriver.
Les négociations sont aussi moins "carrées" et prennent plus de temps or "time is money", mais ça je ne le reproche pas au pays: c'est à nous de nous adapter aux mœurs locales.
Ajoute à ça des tas d'impondérables - transports de passagers et de marchandises défaillants par exemple - et tout renchérit les coûts.
Je n'étais intervenu dans ce fil de discussion que pour redresser un truisme sur "avec une bonne idée ça marche forcément" et "si tu payes des impôts c'est que tu fais des bénéfices".
Je n'aurais pas insisté, puisque je ne suis plus entrepreneur à l'étranger (pour le moment) si tu ne m'avais pas repris toi aussi. Je ne parle là que de ce que je connais (le Brésil) et je connais mon sujet. On peut y réussir, évidemment, mais c'est toujours à l'arrache et avec plus d'obstacles qu'en Europe.
Cordialement
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